Le vendredi 13 novembre 2015, la France est frappée en son cœur par une série d’attentats à Paris et dans sa périphérie.
Sur le parvis du Stade de France à Saint-Denis, sur les terrasses de cafés et de restaurants, au Bataclan, ces attaques terroristes ont provoqué la mort de 130 personnes et fait 413 blessés.
A midi, Jérôme Bonet, préfet du Gard, ancien chef du service d'information et de communication de la police nationale, s’est rendu à la mairie de Nîmes pour participer à un moment de recueillement.
Jean-Paul Fournier prend d’abord la parole : « La France a été frappée en plein cœur. Des Français ont été pris pour cible par des terroristes islamistes, des gens qui haïssent ce que nous sommes. La France se souvient, se recueille et reste debout. On continue à défendre nos valeurs : liberté, égalité et fraternité. Nous faisons silence, un silence lourd mais essentiel pour la mémoire. »
Dix ans après, nous leur rendons hommage et nous n’oublierons jamais.
Les policiers seront